Je me suis offert à la mort à trois reprises cette année. La mort n’a pas voulu de moi.
Je demande aujourd’hui à la mort de prendre (trois de) mes ennemis.
C’est une simple question d’équilibre. De justice.
Si je méritais de vivre, eux ne le méritent pas. Que fais-je sinon répéter que tout est affaire de démographie?
Je crois à la puissance de la Parole.
Que soient châtiés les sycophantes et les simoniaques, les bas quémandeurs et les sous-vivants!
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