« Je suis pour ceux que j’aime une provocation. »
Georges Bataille
Posted in Arsenal, tagged Georges Bataille on 27 septembre 2012| Leave a Comment »
Posted in Au fil des jours, tagged Jean-Paul Goux, La Légende dorée, Le séjour à Chenecé, Les Champs de fouille, Les Quartiers d’hiver on 17 septembre 2012| Leave a Comment »
En une rentrée placée, une fois de plus, sous le signe de romans prosternés devant la banalité ou la sordidité du réel, vides de style comme de profondeur, il est heureux de pouvoir reprendre, tranquillement, pour en jauger la valeur, les exceptions, tout de même, qui se sont manifestées au cours de l’année littéraire.
Lorsqu’au surplus la splendeur s’invite au rendez-vous, page après page, l’on se dit qu’il serait injuste de ne pas tenter de la partager. (suite…)
Posted in Arsenal, tagged Gottfried Benn on 13 septembre 2012| Leave a Comment »
« Nous savons que les hommes n’ont pas d’âme. Si seulement ils avaient un peu de tenue! »
Gottfried Benn
Posted in Arsenal, tagged Georges Bataille on 12 septembre 2012| Leave a Comment »
« On me tient pour l’ennemi du bonheur. C’est juste si par « bonheur » on entend le contraire de la passion. Mais si le bonheur est une réponse à l’appel du désir et si le désir est le caprice même, alors le bonheur seul est la valeur morale. »
Georges Bataille
Posted in Arsenal, tagged Germaine Tillion on 11 septembre 2012| Leave a Comment »
Posted in Arsenal, tagged Maurice Blanchot on 10 septembre 2012| Leave a Comment »
« Nous devons renoncer à connaître ceux à qui nous lie quelque chose d’essentiel ; je veux dire, nous devons les accueillir dans le rapport avec l’inconnu où ils nous accueillent, nous aussi, dans notre éloignement. L’amitié, ce rapport sans dépendance, sans épisode et où entre cependant toute la simplicité de la vie, passe par la reconnaissance de l’étrangeté commune qui ne permet pas de parler de nos amis, mais seulement de leur parler, non d’en faire un thème de conversations (ou d’articles), mais le mouvement de l’entente où, nous parlant, ils réservent, même dans la plus grande familiarité, la distance infinie, cette séparation fondamentale à partir de laquelle ce qui sépare devient rapport. Ici, la discrétion n’est pas dans le simple refus de faire état de confidences (comme cela serait grossier, même d’y songer), mais elle est l’intervalle, le pur intervalle qui, de moi à cet autrui qu’est un ami, mesure tout ce qu’il y a entre nous, l’interruption d’être qui ne m’autorise jamais à disposer de lui, ni de mon savoir de lui (fût-ce pour le louer) et qui, loin d’empêcher toute communication, nous rapporte l’un à l’autre dans la différence et parfois le silence de la parole. »
Maurice Blanchot
Posted in L'école buissonnière, tagged Georges Bataille on 9 septembre 2012| Leave a Comment »