« Pourquoi me jetez-vous de tels regards?
Je suis attristé, mais sans crainte ; et contrarié,
Mais nullement changé ; ce que j’étais, je le reste,
Car plus on me réfrène, plus je résiste.
Je ne suis plus le chien qu’on tient en laisse. »
William Shakespeare,
Le Conte d’hiver, IV, 4.
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