A Rome, le marbre est une chair éveillée qui palpite. Son évidence est une douce violence qui bat comme musique. Bernin ouvre tous les chemins.
27 février 2011 par Christophe Van Rossom
A Rome, le marbre est une chair éveillée qui palpite. Son évidence est une douce violence qui bat comme musique. Bernin ouvre tous les chemins.
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