Lire offusque, déroute, éberlue. Les yeux hagards, mauves de fatigue, ne peuvent se détacher de la page. Les mains se crispent, comme dans le désir. Il n’est pas d’au-delà, dans la sidération, aux phrases qui accrochent le regard.
10 mars 2011 par Christophe Van Rossom
Lire offusque, déroute, éberlue. Les yeux hagards, mauves de fatigue, ne peuvent se détacher de la page. Les mains se crispent, comme dans le désir. Il n’est pas d’au-delà, dans la sidération, aux phrases qui accrochent le regard.
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